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L'Exil

11 mai 2009

Nu.

  Et j'ai vu, au matin, le ciel se déchirer, se percer en un point pour libérer ses lumières, ses violentes réalités et ses mille rayons de sagesse. Je l'ai vu s'éventrer et, tout en se faisant, laisser croître sa bouillante chaleur collant à la peau comme la sève colle au doigt. J'entendais maintenant le silence réveillé, monter dans la campagne en grillant les broussailles, l'avoine et le blé; crépitements infâmes des royaumes que l'on assèche, par un astre trop lourd qui tient encore sur terre. Un appui, je pensais, qui tenait autant de place que sa portée le lui permet, tenant là plus d'orgueil que toutes ces réactions agitant les nucléons qui entretiennent si bien sa flamme ne possède d'énergie; quelque chose de monstrueusement goulu. Il y avait, déjà si tôt, des parfums chauds qui me couvraient les narines, une odeur comme trop grasse qui ne laisse que peu passer d'oxygène à travers son épais voile bleu - du bleu de travail, parmi les épaisses machines à vapeur, sifflant leur dense fumée au relent de soufre et d'huile bouillonante. Je les voyais bien, au loin, les transports de chaleur qui arrachait au pré ces dangereuses propriétés pour les foutres, en bouillon, sous mon nez. Tout comme un                                Mais moi, monsieur, voilà, moi, je n'en veux pas, de vos propriétés. Mon visage s'est rivé sur le tiens, rouge aussi, de la sève qui t'avais probablement réchauffé; et j'observais un peu plus bas les toxines pointues qui fuient le long du bras, marque d'une trop chaude chaleur, des emportements véhéments qui ne mènent qu'à la crasse évidente d'une eau croupie qui se disperse. Et l'astre avait si bien troué ma sensibilité à cet endroit que je me trouvais dans un sentiment de dégout, d'une profonde colère où me laissait ces mille millions de vicissitudes et tout ces faux-paraitre. Poisseux ce corps, poisseux les rêves, et les délicieuses désillusions.
Je ne pouvais dès lors plus ignorer les stigmates laissé par les courbes spectaculaires que nous avions pris cette nuit; alors que, de toute évidence, tu étais prise dans le rayon du cycle de la monstrueuse menstruation. Et il en allait de même pour mon bas-ventre, plein de muqueuses baigant dans une épaisse solution acqueuse, de la dernière viscosité, . Je me permettais le temps de vous bien regarder en détail une dernière fois, pour ne rien regretter. Mais derrière tes paupières closes, je ne voyais plus rien, qu'un tissu imberbe, lissé et aplati par ces rayons aveuglant - rouge pâle que laissent certaines "aubes" qui, décidemment, ne devrait pas être vécu- qui ne me laissait rien apparaitre de ton visage que ce glorieux soir où je t'ai aimé j'avais pu contempler.


Je sautais du toit que je l'entendait se relever. Heureusement je touchait le sol quand ses rêves à elles se briseraient plus fort! On a voulu me doubler? Me miroiter des hectars, des terres entières d'une horrible liberté? On s'est joué de moi, et ce que je dois, je le rembourse.
Bien loin déjà j'entrai dans une tour, de ces basses tours, dont le haut étage ne dépasse les cimes que part leur clocher. Celle-ci était entouré de vieux arbre, bien las de photosynthèse et pliant la racine sous le poids de l'hélium.

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29 août 2008

des Exaltés

"Vous êtes suant!" S'exclama Céline en claquant la porte, débarquant dans la salle d'attente comme une furie. Elle crut qu'elle allait, sans plus attendre, être débordé. Tandis que tous ses membres claquaient faire une seule -mais une de trop- erreur, si prêt du but. Elle senti d'un coup tous les regards ahuris qui s'étaient posés sur elle comme des mouches, pour ne plus en partir. L'irritation, l'étouffement, le monde, elle seule. Elle sentait bien qu'elle s'était mise dans une mauvaise situation, que bientôt les rideaux s'affaisseront sous le poids de son image et que la lumière irradiante pénétrera à même ses veines pour exploser à la face du monde. Face contre terre, trois pieds en dessous, elle décida de sortir avant qu'il ne soit pile. L'horloge indiquait moins le quart, Céline était en retard. Aux premiers pas, dès que sa main toujours appuyée contre la poignée métallique de la porte quittât son aide, elle oscillât, et sentit les mouches toujours collées à son visage. Un malheureux "bâtards" lui échappa des dents et une vieille femme, posté pour entendre cette injure, s'indigna bien fortement et gigota en tout sens, de manière forte ridicule sur sa petite chaise et à son chien avachi sur ses genoux d'en faire autant. Céline mit les deux pied aux sols, la regarda avec instance et violence. La vieille détourna son regard et se tût immédiatement. Cet affront lui donna des forces et elle osa relancer, -conséquence du soudain relâchement- mais cette fois avec une fierté qu'elle voulait insolente: "Bâtards!". Les réactions qui en suivirent ne lui parvient plus que par une lourde exclamation étouffé. Elle avait déjà passé et fermé la porte qui lui permettait de prendre son envol.
  Une fois dans la rue, Céline sortit l'ordonnance froissée qu'elle avait mis avec fureur dans sa poche. Il lui était prescrit beaucoup de petites lettres, écrites de la mains d'un homme grossier. Des mots inconnus. Des médicaments compliqués. Un homme incompréhensible. Elle pensait qu'elle n'en avait cure, tant de préoccupations inutile la ralentirait. Elle remit donc le petit papier dans la poche de sa blouse, et accéléra le pas. Son esprit était moins habité par la colère, elle sentit alors l'intensité de la chaleur qui écrasait la ville sur les coups de midi et se rendit par ce fait mieux compte de l'ampleur de son retard.  Elle ne put s'empêcher de presser le pas, pour ne pas rester longtemps sous ce soleil de plomb et courir pour la beauté du geste. Elle pensa alors que, sous la pluie courir avait un sens, mais sous le soleil, à quoi bon? D'autant plus que son décalage était connu de ce qui l'attendait, elle était donc sur que l'on se montrera compréhensif en ce qui concerne sa lenteur. Perdue.

  La perte de contrôle qui failli Tout est à sa place. Et elle pense avec délice que maintenant, même elle, était à sa place dans ce théâtre de rue. Elle se présente. Goriathaïva Golova, son père était russe. Elle avait vécu en pays froid où sa mère et elle avaient salement travaillé pour arriver ici, dans un pays chaud, il y a cinq ans. Elle avait encore le tient plein de vie. Des yeux clairs, vifs, dans les quelles se reflètent une lueur peu commune qui lui offrait un regard amusé, sans insolence. Une chevelure dense et brillante comme le printemps. Svelte, toujours jolie, surtout aujourd'hui. Tous ses détails la ravissait, le corps c'est l'âme. Elle ne prête pas attention à ses atouts physique. A vrai dire elle n'aime pas son corps. Cultivant une autre terre, bien plus fertile. Elle marche à grande enjambée par ici, plus petite quand une nouvelle situation se présente. Mais dans ces ruelles, tout est court, tout est rapide, on ne s'assied pas deux fois à la même place. Les yeux ne s'attardent jamais sur la même personne. Elle ne voulait pas être à portée de regard trop longtemps, elle étouffait sous le poids du jugement si vite prononcé et sous cette chaleur croissante. Midi sonnait et son ventre grondait.

Elle reprit la rue pour s'engager vers le chemin qu'elle connaissait si bien. Manger dehors, elle n'y pense pas. A moins que l'homme qu'elle croisait fut justement celui qui l'obligea à joindre sa table et qu'elle engage la conversation avec son premier ami. C'est fait. Mais pour l'heure, l'homme n'était pas son ami. Juste un passant bien trouble qui, de la même façon qu'elle l'agaçait, l'intéressait. Elle se laissa, pour la première fois, d'après ses souvenirs, approcher. Et à hauteur d'oreille, établir un dialogue avec un homme. Avec un inconnu.................. .. ...

28 août 2008

Cul

  Dormons ce soir sur ce toit. Souviens toi une dernière fois des odeurs de fleurs de ta robe reprisée. Abandonnes toi sur ses tuiles encore tiède. Donnes ton corps à cette nuit, elle nous est livrée. Mais ne va pas trop loin, je me suis déjà perdu dans cette nuit étourdissante, les chemins y sont flous, il faut être accompagné. Suis moi de près, marchons ensemble vers cette lune que j'ai moi même fais tomber. C'était facile, comme briser un œuf. On eu beau raconter des éloges sur ses puissances célestes, rien n'est trop dur pour ceux qui savent comment vivre. Alors, tu es rassuré? Tout te parait si réel.
  On ne s'est jamais arrêté sur les pièges parce que l'on savait qu'on y perdrait la tête. C'est pour cette raison que je ne pouvais pas attendre dans ce cauchemar, il me poussait vers le bas. C'est toi. C'est toi! Je sens tes cheveux, noir comme le paradis, froid comme l'enfer. Tes yeux bleus, couleur de nos ancêtres et glacé comme le vent. Touches ma tête, oui, tiens moi par le haut, tire moi de ma torpeur. Retires moi la mémoire. Elle s'est envolée, je savais qu'elle nous gênerait encore. La tienne t'as oublié, je l'y ai poussé. Nous dérivons maintenant, lentement, mais nous dérivons, je te l'assure. Nous ne nous retournerons jamais plus, plus rien ne nous retiens.
  Regardes autour de nous, tout est là. Touches les étoiles piquantes. Regardes les landes s'écartelant sur notre passage. Et le vent bleu glacé déchirant la voie lactée de tout son long. Je suis celui qui t'ouvres les yeux, tu es celle qui me les fis fermer. Et maintenant, nous savons vivre. Nous sommes témoin. Témoin de la beauté noire, la seule et unique beauté qui ne se voit pas. La seule éternelle et unique beauté que l'on sent, comme l'eau de vie. Elle fait vibrer tous nos membres, comme la première fois. Te voilà enivré? Tout est si réel.
  Donc, je t'aime. Je n'ai pas peur.
  Choisis notre dernier nom, je te l'offre. Cries-le, cries-le pour les anges éternels de cette noire beauté. Ils graveront dans les roches ce témoignage que nous leur laissons. Cette beauté ci n'est pas éphémère, puisque je t'aime. C'est toi! Ensemble nous ne serons pas heureux, comment pourrions nous l'être? Nous sommes les seuls à marcher sur la lune, il faut être léger. Et pour être léger, il faut se débarrasser du superflu. Ce qui compte, réellement, c'est d'être sur la lune, pour ne plus se retourner, pour s'aimer, pour toi.

3 juillet 2008

Brouhaha

Comme un homme torse nu qui enlève sa peau pour avoir moins chaud, il reste seul, non, à l'écart. Il reste loin et se laisse flotter sur les tempêtes impétueuses de son esprit qui l'éloigne d'autant plus de toute réalité. Vraiment, il jouit d'une expérience fantastique, dont lui seul connait le secret. Ainsi, dans ces instants où il est préposé à toute son attention, il a la faculté d'envoyer bringuebaler tous ces bruits et fait tomber tout ce qui la requiert (l'attention). Il dérive alors à bord de ses pensées vers de lointains horizons, par un mouvement habile de son cerveau, qui prédomine sur toute volonté et le fait osciller vers le seul état où il repose en paix. La solitude. C'est donc dans cet état que nous retrouvons ci-dessous notre homme.

  En train de se balancer dangereusement sur sa chaise. Un regard catalysé. Une oreille irritée. Un soupir étouffé. Ses doigts cramponnés au boit du petit fauteuil. Un murmure qu'il condamne de ses yeux injurieux surgit des ténèbres sous-jacent. Silence! Ouvres la! Fermes toi. C'est inutile, il sait trop bien qu'il ne dira rien, le dégout lui a noué les mâchoires qui resteront closes. Alors il s'est résigné, et condamne en silence. De par le bas, une ombre s'agite, le voile s'épaissit et les murs de la ville ressemblent à des prisons. Il ne veux pas chanter, ni danser, ni jouer, ni jouir, ni jalouser. Non, non, non. Il sait combien il est sain de s'y abonner. Il a baissé la tête pour moins bien se faire voir et la neige recouvre d'une épaisse couche son corps, brûlé par le froid. Cependant, il se balance plus violemment et son siège ne tient plus qu'à cause de l'équilibre ahurissant de ses pieds. Il tiens toujours à ses moyens et reste incroyablement stable.

Hélas, bientôt son nez ne respire plus qu'un air nauséabond. L'air qu'une simple inhalation permet de vomir jusqu'à la bile du ventre le plus tendu. L'air des rats, intolérable. Il décoche sous cette pression toute la puissance de sa vue, perçante. Des tambours remplacent ses tympans, et la douleur martèle leurs membranes, détestable symphonie. Une plainte lui échappe d'entre ses dents pourtant garrottées par un lien hermétique, saignante. Ses ongles pénètrent dans la chaire noirci par la feu de son trône, crispé. Enfin, le spasme léthargique. Il est débout. C'est son heure. Il n'a plus ses moyens, cet homme est insensé. Il se dirige, suspendu à ses jambes qui l'emmène avec frénésie, vers il ne sait où. Il tortille comme le serpent dans les profondeurs des rues. Il brille comme le phare dans l'obscurité de la nuit, pressé de pouvoir donner courage aux marins désespérés. Mais il se déplace si imprévisiblement, si maladroitement que personne ne peut l'apercevoir. Dans sa course, il croise une église verrouillée,  même le seigneur à fermé les portes de sa demeure. Nul refuge pour l'égaré. Car une ombre s'est réveillé, en bas, elle remonte lentement le long de la métropole. Elle enroule ses épines, prenant essores des égouts, couvrant toutes les routes et touts les façades, qui imbibent la terre de son putride poison. L'atmosphère en est écrasante malgré le froid polaire qui s'abat en rafale sur l'homme, dont la démarche elle-même est  affreusement pesante. Il continue malgré tout sa traversé. Il va chercher l'antidote.

Il sait où il s'emporte. Il descend, et tant qu'il passe par un fleuve dont la lisière est gardé par un chien qui ne bouge pas même ses yeux affutés vers le nouveau venu. Il est attendu. Une barque est posée à la surface de l'eau, une fois pris place il descend encore. A la volée, il se munit de sa Lyre et de son égide. Armé, il plonge plus profondément encore, là où les ronces sont agglomérées. Et, son heure ayant sonné, les yeux plus clairs que jamais, les oreilles à l'affut de la mélodie, les mains agilement agrippées à l'instrument, la bouche délié, capable de dictée toutes les langues, il est fin prêt à entamer son crime:

I heared the world, a secret call,

J'entends depuis si longtemps ce sourd grognement,

Daß meine Ohren dort geschehen waren

Pero, cuando mi cuerpo fue desatado,

Я не провожу там большее количество и спускался.

The day was played, I pleased my soul,

J'ai bientôt dû nier tous ces codes important,

(projet un peu compliqué)

(Fin à faire beaucoup plus longue, dans un autre style, bien plus beau)

A la fin de son chant, il était nu, seul. Le fleuve l'avait porté sur l'océan et son embarcation était loin de toute ville. Seul, le long et lent bruit de l'eau vient lui caresser les oreilles.

1 mai 2008

Le bruit d'une voix.

La scène a lieu dans une maison de luxe Dandy. Des Esseintes est assis sur un fauteuil de petite taille et va nous exposer les causes de son désenchantement.

DES ESSEINTES-  Toute ma vie j'ai attendu. Attendu un bouleversement de mon être. Un évènement majeur, brouillant tous mes sens, écartelant mes pensées et anéantissant ma vie. Attendu d'être pris dans les filets d'un dilemme, d'une intrigue extraordinaire. Et enfin... j'attends toujours (Il se lève et fait les cent pas).
  Rien ne va à mon encontre. J'évite tellement les ennuis qu'à la fin je les cherche! Mais ils nous fuient... et les quelques péripéties que l'on arrache à la vie ne sont plus guère qu'un café avec ou sans sucre. L'ennui avec l'ennui, c'est qu'il ne nuit pas. Il nous laisse languir tendrement jusqu'à l'instant où la pendule n'a que trop sonné. Alors, la faucheuse nous ramasse timidement pendant notre sommeil, l'instant de la mort même étant devenu fade, ne vaut plus la peine d'être vécu (Il se fige, marque un temps, puis reprend brusquement sa marche).
  Le temps des héros aux mille ruses est révolu! La monotonie d'une vie comme mille autres l'a remplacé. On passe aujourd'hui notre temps à inventer des pépins à une Terre trop bleue. On sait tout, on ne s'étonne plus de rien. Ni du printemps qui revient chaque année à la même date. Ni de la neige qui n'est plus là. On se laisse bercer par l'uniformité. Et lorsque l'on se réveille! (Un temps. Il arrêt de marcher). Lorsque l'on se réveille... on entend le bruit sourd de l'ennui après nuit... jour après jour. Ce bruit là rend fou, on l'entend partout. Derrière une plus belle femme comme devant la nouvelle lune. (Un temps. Il reprend son périple).
  C'est une plaie! Une tare pour l'humanité! Regardez sous vos bottes (soulevant le pied). Vous n'y verrez qu'une semelle. Regardez le pain! Vous y verrez une croûte. Nul Cosmos, nul Montagnes... du pain. Nous ne sommes plus munis d'yeux pour rêver. Nous avons des miroirs. Ils réfléchissent l'image de l'objet à notre cerveau, le cerveau l'identifie et lui colle un mot. Nous savons alors que l'objet n'est que ce qu'il est (il s'assit).
  En vérité, je vous le dis... vivre et faire vivre, voilà notre lot, à tous. Et même conscient de l'aspect prosaïque de ma vie, il n'y a rien que je puisse faire. Car je ne suis pas mon propre arbitre. C'est la science. C'est la science qui nous a fabriqué ces psychés, c'est elle encore qui a fait de la Terre une planète bleue et enfin, c'est elle qui nous tue dans notre sommeil! Le bruit sourd de l'usine fait exploser mes timpans. Elle a molesté tous mes sens que je ne peux plus dérégler. La science nous mène, par ses formules, à la cohérence parfaite d'une existence pathétique. Et ce n'est pas sans dire qu'avec son apparition, va la disparition des héros (Il se lève).
  Je jure que je me ferai ignard! Je ne veux plus rien savoir des lois qui vous régissent. Plus rien! Je veux être mon seul dégoût, mon seul bonheur, et mon seule ennui! J'irai là où mon cœur rit! Là où mon cœur pleure! C'est ainsi que les héros naissent, c'est ainsi que les poètes proses. Je veux être otré à outrance! Aimer. Haïr. Sentir. Courir. Réapprendre. Et me surprendre à essayé de voler... (essoufflé il s'affale sur le fauteuil).

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L'Exil
  • Ab Absurdo, le contact des sens et avec les sens, s'éloignant préférablement du logique, se rapprochant donc de l'illogisme. écrire loin pour se trouver plus proche. Je m'offre le seul objet de mes plaisirs. Je suis ici chez moi et vous, chez moi.
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